La méthode « A.C.T. » présentée aux dentistes

La méthode A.C.T. propose une prise en charge selon la chronologie suivante :

 

1/ A comme Analyser

C’est le temps du bilan initial.

Hors situation d’urgence, un chirurgien dentiste doit commencer par faire un état des lieux général, qui tient compte de son patient : ses désirs, ses besoins, mais également de sa santé globale.

Ce bilan clinique et radiographique se veut d’être exhaustif : on regarde TOUT ce qu’il y à voir.

Cela ne veut pas dire que tout sera traité rapidement. Cela veut dire que le(la) patient(e) repart de ce bilan avec des informations précises et des diagnostics clairs.

Chez l’Odont’A.C.T., le(la) patient(e) est le premier acteur de sa santé. C’est pourquoi il est capital que le praticien prenne le temps de lui présenter son bilan et de répondre à ses questions.

2/ C comme Conseiller

La deuxième partie du chemin vers la santé, c’est la correction des facteurs de risque. Il s’agit ici de traiter les causes des problèmes bucco-dentaires, étant entendu que ces problèmes (caries, douleurs, saignements, déchaussements, couronnes, dévitalisations, implants,…) sont quasiment tous EVITABLES !

Chez l’Odont’A.C.T., les dentistes utilisent un outil qui a fait ses preuves : un module d’éducation thérapeutique, que chaque patient(e) suit depuis chez lui, à son rythme.

Le dentiste est là pour accompagner son patient dans les changements de comportement qui lui permettront de retrouver et de conserver une excellente santé bucco-dentaire.

Des séances en cabinet peuvent également être proposées en complément.

3/ T comme Traiter

Et oui ! les soins de qualité ne viennent qu’APRES une analyse sérieuse et la mise en œuvre de conseils pertinents.

Les dentistes qui suivent la méthode A.C.T. s’engagent à :

* dispenser les meilleurs soins selon les données acquises de la science

* traiter les problèmes le plus précocement possible (un vrai bilan permet de dépister les petites caries, inutiles d’attende qu’elles grossissent !). La médecine dentaire préventive se veut toujours la moins invasive possible.

* se former pour être au top dans ce qu’ils font

* adresser vers des spécialistes quand c’est nécessaire, pour que chaque acte soit fait par quelqu’un de compétent dans son domaine.

* poursuivre l’accompagnement (conseils, informations) tout au long du traitement.

* intégrer des vrais rdv de « maintenance » dans le suivi des patients, pour réactualiser le bilan à une fréquence adaptée aux risques particuliers, et éviter ainsi toute mauvaise surprise à l’avenir.